Les bidets japonais

Depuis une décennie les japonais ont adopté les bidets. Pas la version européenne, mais une version améliorée. Le tout est incorporé dans le siège de la toilette. Quel confort! Génial. Je vois sur internet que c’est disponible chez nous aussi.

Au retour je délaisse le moyen âge pour entrer dans l’ère de la civilisation. Fini le temps du papier sec!

 

DSC05914

DSC05915

DSC05916

DSC05917

Tokyo

Je suis sûr qu’il doit y avoir des beaux coins à Tokyo. Certes il y a des endroits intéressants, coincés entre des bâtiments modernes aux à allures plus ou moins dystopiques. Comme le temple abritant les restes des célèbres 47 Ronins du 18e siècle qui vengèrent leur maître au prix de leur vie: ils durent se suicider rituellement sur ordre du shogunat. Nous ne resterions pas à Tokyo. Ce n’est pas une belle ville.

Heureusement les cerisiers sont en fleurs.

Le train rapide qui nous a conduit à Kyoto est rapide! Nous avons roulé parfois à 300 km/h, sans vraiment sentir La vitesse. C’était le Nozomi, entre Tokyo et Kyoto.

À l’arrivée, je dirais que Kyoto ressemble à Tokyo,  en un peu plus petit, et avec le to changé de place, si vous voyez ce que je veux dire. Les cerisiers sont en fleurs ici aussi.

Les additions au restaurant sont difficiles à déchiffrer. C’est facile pour un restaurateur malhonnête de gonfler la facture. À l’entrée du parc Ueno j’ai fait enlever un item en trop au petit resto italien pour me rendre compte plus tard qu’il y en avait deux autres chargés deux fois! Il m’a bien eu. Mais jamais plus celui-là ne m’aura!

 

 

Le Canada aux portes

Demain, 10 mars, nous rentrons au Canada.

En janvier nous avons passé une dernière journée avec ma soeur Monique à maison de Palm Desert dans le sud de la Californie. Quand nous la revoyions en février, un tumeur au cerveau sournois la terrassait. Ce ne fut qu’une question de quelques jours pour qu’elle soit emportée. Période pénible.

Seattle: Longue et lente remontée de la côte du Pacifique jusqu’à ce dernier arrêt en terre américaine. Pose d’une journée avant le passage de la frontière. Le temps est frais mais agréable. Nous avons pris le temps de visiter ma nièce et son époux, et lui rappeler son héritage québécois (canadien-français, francophone du Canada, français d’amérique, canadien de langue française, ou je ne sais trop quoi). Finalement, elle doit préférer demeurer américaine. C’est plus clair. 😉

Quelques photos suivront…